Le manque de disponibilité de plusieurs personnes
nous fait reporter cet événement à 2023 sous une autre forme.
Merci de nous en excuser.
« À quoi bon les poètes en temps de crise », disait en son temps le poète Hölderlin.
À quoi bon les pédagogues, en temps de crise ?
L’inscription est ouverte. Plus d’infos bientôt aux personnes qui se seront signalées.
Nous contacter au zerosix88772553
Dans le prolongement de notre présence en tant que GFEN Provence à Convergences, la biennale d’Éducation Nouvelle qui s’est tenue à Bruxelles du 29 octobre au 2 novembre 22 (https://convergences-educnouv.org/) , mais aussi du Congrès du GFEN (https://www.gfen.asso.fr/fr/congres_2022_gfen) nous entamons cette année un cycle autour de pédagogies de temps de crise.
« Faire un pas de côté, c’est peut-être changer de lieu et habiter ailleurs, changer d’époque et avancer ou reculer dans le temps, c’est peut-être quitter le chemin pour en prendre un autre, c’est parfois mettre d’autres chaussures à son pied ou chausser d’autres lunettes.…
Cette séance a été reporté en mars.
Nous espérons en 2023 vivre pareillement un travail autour du pédagogue polonais Janusz Korczak, puis plus tard à partir de Célestin Freinet.
Porteurs d’espoirs, les livres ? Oui,
Pour ce mot de « crise » qui nous travaille, le dictionnaire Larousse donne : « Changement subit, souvent décisif, favorable ou défavorable, du cours d’une maladie » […] « Manifestation soudaine ou aggravation brutale d’un état morbide » […] « Accès soudain d’ardeur, d’enthousiasme. Travailler par crises. » […] « Période décisive ou périlleuse de l’existence. » […] « Phase difficile traversée par un groupe social » […] « rupture d’équilibre entre grandeurs économiques » […] « période intermédiaire entre la démission d’un gouvernement et la formation du suivant » […] « Pénurie, insuffisance ». Il dit aussi que l’expression s’origine dans le grec krisis, décision.